dimanche 25 novembre 2007

L’arbitrage : un débat éternel

J’ai reçu la semaine dernière une demande spéciale par courriel. Tonton Alain voulait que je traite de l’arbitrage. Vous voyez que dans la famille on a le sens de la nouvelle, puisque l’arbitrage a fait jaser cette semaine, particulièrement dans le match de vendredi entre le Canadien et les Sabres. Sans rien enlever à mon cher oncle, il faut dire que l’arbitrage dans la LNH fait parler d’elle chaque année. Mais, rendons lui ce qui lui revient; le timing était excellent.

Sur ce blogue, l’an dernier, j’avais fait part de mon désaccord sur certaines facettes de l’arbitrage. Rien n’a changé. Pas que je m’attendais que mon commentaire se rendre jusqu’aux oreilles de Stephen Walcom ou de Gary Bettman, mais non seulement il n’y a pas d’amélioration, mais ça semble se détériorer avec le temps. Oh je commence à me faire à l’idée qu’un joueur ne peut pas effleurer aussi légèrement soit-il le bras, la hanche ou le bâton d’un adversaire. Qu’un joueur soit punit parce qu’il lance la rondelle chez les spectateur, mais on ne dit rien quand ça se produit en zone neutre ou adverse me décourage encore (je ne trouve pas que ça mérite une pénalité). Et je trouve encore ridicule la punition pour cinglé lorsqu’on brise le bâton de son adversaire. Je ne suis toujours pas d’accord avec ces règlements, mais je m’y fait et je vies avec. Sauf qu’on commence à laisser passer des infractions plus flagrantes chez nos amis zébrés. Je parle d’accrochage évident ou d’obstruction tout aussi flagrant. J’accepte qu’on sévisse sur les accrochages qui en sont plus ou moins (bâton à la hanche), mais si on laisse passer celles qui sautent aux yeux, ça ne tient plus. Quel est le message qu’on lance aux joueurs? Vous ne pouvez pas effleurer votre adversaire avec votre hockey, mais le faire chuter sur la patinoire, ça peut être tolérer. Complètement illogique! Suis-je en train de parler de logique et d’arbitrage moi?

Bon, j’exagère un peu. La LNH a fait des progrès même si je trouve qu’il y a place à l’amélioration. Sauf qu’on doit demeurer prudent si on ne veut pas reculer en arrière de 3-4 ans. Tout le travaille qu’on a fait en étant sévère, trop parfois, pourrait être effacer en peu de temps. Une mauvaise habitude ça se reprend vite lorsqu’on nous en donne l’occasion. Les joueurs sortaient de moins en moins le crochet puisqu’on savait que même si on touchait presque pas l’adversaire on allait être punit. Sauf que s’ils s’en sortent en accrochant de façon flagrante, l’habitude pourrait bien revenir. Il serait dommage que l’on ait eu à subir toutes ces pénalités pour en revenir au hockey avant lock-out. C’est ce qui risque de se produire si les hommes en chandail rayés ne se démêlent pas.

Parce qu’ils sont mêler et les joueurs et les organisations le sont aussi. On ne sait plus ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas. Komisarek était sûr d’avoir fait le bon jeu vendredi en harponnant la rondelle d’abord, mais on lui a donné une pénalité qui a coûté le match à son équipe. Dur de garder son calme dans ces moments. Effectivement, l’arbitrage nous achale plus lorsqu’on perd; ce qui est le cas pour le Canadien présentement. Sauf que le problème est général et il est là depuis le début de la saison. On appelle des pénalités qui n’en sont pas, on en laisse passer et on a un sérieux problème à gérer les contacts avec les gardiens de but. De tous les problèmes sur l’arbitrage, ce dernier est sûrement le plus fréquent. On accepte des buts qui ne devraient pas l’être et on en refuse des bons. J’ai vu dans un match Sens-Leafs deux buts avec deux contacts semblables avec le gardien. Et quand je dis semblables, je dis presque identiques, un joueur qui fonce au filet, le gardien fait l’arrêt, le joueur rentre légèrement en contact avec le gardien, l’autre joueur saisit le retour et marque. Deux fois le même jeu, mais deux décisions différentes. Un but refusé et un accepté. Pas facile de savoir ce qui est légal et ce qui ne l’est pas. Dans un autre match, j’ai vu le but le plus stupide de ma vie. Marc-André Fleury avait un joueur des Devils assit sur lui dans le fond du filet, puis un joueur des Devils a finalement trouvé la rondelle pour la mettre dans le filet. Et bien sachez mes amis que ce but a été accepté. La raison, le défenseur des Pingouins avait poussé le joueur sur son gardien. Après reprise, le joueur a bel et bien été poussé, mais on est loin d’un double échec ou d’une mise en échec, le joueur fait son boulot en tentant d’enlever l’attaquant de devant le but, mais ce dernier tient à continuer son mouvement vers le filet et se retrouve sur le gardien. En aucun moment, le joueur des Devils tente d’éviter le contact, au contraire. On a arrêté de donner des pénalités pour obstruction sur le gardien lorsqu’on poussait le joueur parce que les défenseurs faisaient par exprès pour que leur adversaire soit punit. Sauf qu’en ne sévissant jamais, le phénomène contraire se produit et les attaquant s’amène à toute vitesse sachant qu’il ne seront pas punit parce qu’un défenseur tentera de les stopper et le contact les poussera sur le gardien et on n’appelle jamais de pénalité dans ces cas là. Voyez qu’on ne gagne jamais lorsqu’on applique des règlements par des automatismes. Avant on avait un demi patin dans le demi-cercle et le but ne comptait pas et maintenant il n’y a pas de pénalité lorsqu’il y a contact avec le défenseur. Pas de danger qu’on laisse l’arbitre se servir de son jugement, ce serait bien trop dangereux. En fait, on a privé tellement les officiel de leur jugement pendant un match de hockey qu’ils ne sauraient même plus comment s’en servir.

Voilà bien des critiques et biens des problèmes. Plusieurs personnes influentes lances des idées, des solutions, mais on ne semble pas écouter plus qu’il faut chez les officiels. Voilà un autre problème, on refuse de prendre le blâme quel qu’il soit chez les arbitres. Monsieur Walkom préfère régler ça à l’interne. Surtout ne pas avouer publiquement que ses officiels ont de la difficulté depuis le début de la saison. Tout est toujours question d’interprétation. De toute façon, Mario Lemieux a crié pendant 10ans pour qu’on améliore l’arbitrage et on ne l’a pas écouté. On a attendu d’en arrivé à un arrêt de travaille. Espérons qu’on ne se rende pas là et surtout espérons qu’on ne revienne pas à l’ancien arbitrage. Croisons-nous les doigts.

À la semaine prochaine!

dimanche 18 novembre 2007

Le respect : quand le débat est mal orienté

Le mot respect est devenu au fil des semaines un mot très à la mode dans le milieu du hockey. On en parle beaucoup depuis le coup sur Bergeron, les différents coups salauds portés à travers la LNH et aussi l’histoire de Avery et Jason Blake. En fait, on en parle un peu trop à mon avis. Le respect est une valeur partagée par une bonne majorité de gens, mais à force de sur utiliser le terme, il en vient à perdre tout son sens. Que de philosophie pour débuter cette chronique.

Ne vous méprenez pas, le respect fait bel et bien parti des valeurs que je transmettrai à mes enfants, un jour. Mais, il ne m’est jamais venu à l’esprit que c’est par le hockey que j’allais leur enseigner. Ce sport, en est un de compétition où il y a des contacts physiques et où même les bagarres sont permises. Rendons nous à l’évidence, le hockey est un sport violent. Ce n’est pas que ça, mais c’est certes un élément important de cette discipline. Alors quand on me parle de manque de respect à travers la LNH, je décroche. On peut bien respecter le talent de l’adversaire, mais de là à respecter l’adversaire lui-même, je ne crois pas. C’est un adversaire, vous devez le vaincre, le battre, le frapper. Est-ce qu’on fait tout ça avec respect? Encore une fois, j’ai des doutes.

À travers ce débat, on entend des anciens joueurs comme Lafleur dire qu’il y avait plus de respect à son époque. Je vous ai déjà dit dans une chronique antérieure que ce genre de propos me faisait bien rigoler quand je pense aux Bruins qui voulait arracher la tête de notre bon ami Guy. Je me rappelle aussi les nombreux coups de bâton que Maurice Richard a du recevoir dans sa carrière dont quelques-uns en pleine tronche. Tous ces gestes et les batailles qui ont eus lieu à leur époque et qu’on nous montre sont certainement des marques de respect qui m’échappent et que je ne comprends pas. Certainement une façon qui est propre à leur génération et que la notre de saisit pas.

Pourquoi il semble-t-il y avoir de plus en plus de ces coups? Je répondrai par une autre question : « Est-ce qu’il y en a vraiment plus? » Je n’en suis pas si sûr. Nous sommes dans une période où les communications sont hyper développées. Impossible de manquer quelques choses peu importe où il se produit sur la planète. Le hockey professionnel n’échappe pas à ce phénomène. Quiconque suit un temps soit peu le hockey a vu la mise en échec par derrière de Randy Jones sur Patrice Bergeron et ce, même plus d’une fois. À l’époque de nos parents et grands-parents où le média de la télévision n’était pas aussi développé et où l’Internet n’existait pas, il était beaucoup plus difficile de savoir et de prendre conscience de tous les coups qui pouvaient se donner. Difficile de s’imaginer l’ampleur d’un coup sournois sur Maurice Richard lorsqu’on a que la voix de René Lecavalier, aussi bon que ce dernier pouvait être, pour nous décrire l’incident. Les images sont souvent plus puissantes; je n’apprends rien à personne. Alors l’effet est encore plus grand lorsqu’on nous montre les images à répétitions sous tous les angles et au ralenti. C’est ce qui se produit présentement puisque la situation inquiète biens des gens. C’est une réaction normale et même saine. Il faut s’intéresser au phénomène et voir ce qu’on peut faire pour améliorer la situation. Il faut rester prudent et ne pas se perdre dans des débats de respect et de « c’était mieux dans mon temps ».

Il faut commencer par prendre conscience que le hockey demeure un sport violent et que peu importe ce que vous prenez comme mesure, vous n’éliminerez jamais tous les coups dangereux. La ligue s’est déjà améliorée en donnant des sanctions plus sévères. Il faut maintenant montrer de la régularité et sévir peut importe qui est le fautif. Mais, il est faut de croire que parce qu’il y a des suspensions, les joueurs vont plus y penser avant de frapper un joueur. Quiconque a joué au hockey le moindrement sait à quel point le jeu est rapide et que le temps de réaction est souvent trop court. Il faut quand même persister et espérer que les joueurs vont calmer leurs ardeurs.

On peut aussi tenter d’éduquer les joueurs pour qu’ils apprennent à jouer de façon prudente. Désolé pour Patrice Bergeron et je lui souhaite de bien s’en remettre, mais se tourner dos au joueur et se pencher à la dernière seconde alors que vous êtes dans une course pour la rondelle ne constitue pas un jeu sécuritaire. Vous risquez votre santé en jouant ainsi. À la place de se péter les bretelles en disant que les anciens joueurs se respectaient plus, ces derniers devraient peut-être parler comment les gars se protégeait mieux dans les coins de patinoire. Il était très rare de voir les joueurs tourner le dos à leur adversaire.

Aussi, à la place de parler de Don Cherry que pour ses propos « racistes », on pourrait aussi rapporter ses propos pleins de bons sens sur l’équipement des joueurs. C’est certainement un problème que les dirigeant de la LNH devrait étudier. On sait tous que les joueurs sont de plus en plus gros, plus en plus rapides, alors pourquoi leur donner le droit de porter des armures dignes des chevaliers? Pronger à 6 pieds et 6 pouces n’a nullement besoin d’épaulettes et de coudes aussi dur qu’un mur de brique. Sinon, c’est sûr que les dommages seront plus grands. Surtout si on compare avec l’équipement en carton que portaient nos Maurice Richard et Guy Lafleur. Si on peut modifier les chandails de la LNH on peut certainement apporter des changements au reste de l’équipement.

Prenons maintenant le cas de Sean Avery et de Jason Blake. Il faudrait commencer par s’entendre sur ce qu'il a dit. Impossible si vous voulez mon avis. Certains prétendent que la petite peste des Rangers aurait insulté le joueur des Leafs sur sa maladie, le cancer. Avery s’est toujours défendu d’être aller aussi loin. Impossible de savoir qui dit vrai Lorsqu’il est question de propos racistes ou sur la maladie, là je commence à trouver qu’on dépasse les bornes. Au même titre que je n’accepte pas un coup de coude au visage, je trouve que la ligue ne devrait pas accepter ce genre d’écart de langage. Encore faut-il être sûr des propos tenus, ce qu’il n’est pas le cas dans la situation présente. Mais les autorités devraient être aux aguets pour ce genre d’incident et déterminer ce qui est acceptable et ce qui ne l’est pas.

Bref, il y a bien des décisions à«prendre si on veut diminuer les coups violents au Hockey. Restons prudent et tentons de ne pas nous perdre dans ce débat important. Gardons notre focus à la bonne place et n’orientons pas le débat dans la mauvaise direction.

Sur ce, bonne semaine et à la semaine prochaine!

lundi 5 novembre 2007

Un débat qui n’en finit plus

J’aurais voulu passer par dessus le sujet, mais je ne peux m’empêcher de revenir sur le sujet qui a surclassé tous les autres cette semaine. Il est question, bien sûr, de Saku Koivu et de notre « très chère » langue. Je fais parti de ceux qui tiennent à notre langue, de ceux qui veulent la protéger, de ceux qui trouvent que nous la massacrons nous-même par notre ignorance – un débat plus important que celui qui a eu lieu cette semaine – et je suis le premier à m’insurger contre les immigrants qui s’obstinent à ne pas apprendre le français. Par contre, je suis aussi au front pour défendre Koivu contre les critiques sur le fait qu’il ne parle pas le français malgré ses 12 années passées à Montréal. Belle contradiction? Pas vraiment. Je fais seulement la part des choses et j’essaie de ne pas les mélanger.

Je vous l’ai dit, le français me tient à cœur. C’est pourquoi que lorsque je parle ou que je m’exprime sur ce blogue, je m’efforce de le faire dans le meilleur français que je peux. Il n’est pas parfait, je le sais; d’ailleurs, je suis toujours ouvert aux critiques sur mon orthographe ou sur ma façon de parler. Comment expliquer que je défends Koivu alors? C’est simple. Pour moi, il y une énorme différence entre un joueur de hockey étranger qui est de passage pour sa carrière et un immigrant qui vient s’installer ici définitivement. Saku, une fois la saison terminée, retourne chez lui en Finlande. Puis, lorsque la carrière dans la ligue Nationale sera chose du passée, il retournera au près des siens pour de bon. Suis-je le seul qui comprenne qu’il y a une énorme différence entre cette situation et celle d’un immigrant qui s’amène au Québec dans le but de refaire sa vie ici ? Je crois que non, puisqu’ils ont été nombreux à monter aux barricades pour défendre le capitaine du Canadien. Peut-être aussi parce que le débat revient tellement souvent que s’en est pathétique, pour utiliser le terme de Don Cherry. Si Cherry ne semble pas tout à fait comprendre l’importance de langue française au Québec, il n’a pas tout à fait tord lorsqu’il dit que ceux qui s’en prennent à Koivu sont pathétiques. La vedette du segment Coach Corner à Hockey Night In Canada a rappelé les nombreux combats (Son cancer et sa blessure sérieuse à l’oeil) de Saku Koivu ainsi que de son implication au sein de la communauté. De plus, dans cette grosse tempête médiatique, on a appris que le numéro 11 était capable de parler français et qu’il le faisait lors de ses visites dans les hôpitaux. On ajoute, que sa femme parle français, elle qui est pourtant finlandaise, et ses enfants vont dans une garderie en français. Je ne sais pas, mais moi, c’est ce que j’appelle de l’intégration. Tout ça par une personne qui quittera dans 3 ou 4 ans pour son pays d’origine. De plus, Koivu veut jouer à Montréal. Il aurait bien pu aller empocher des millions ailleurs, mais c’est ici qu’il veut gagner. Saku avait même déclaré qu’il ne voulait pas gagner la coupe à Nashville, mais ici. C’est ce que j’appelle de l’intégrité et démontrer de la gratitude envers son club, ses partisans et la ville. À l’heure où des Québécois refuse de venir jouer ici pour X raisons et je ne parle pas seulement de vous savez qui, voilà qu’un joueur, un Finlandais, démontre la volonté de jouer ici. Et nous, on critique cette personne. Pas fort.

Mais qu’est-ce qu’on lui reproche au juste? Le fait qu’il ne réponde pas aux questions des journalistes dans la langue de Molière et qu’il ait présenté ses coéquipiers en anglais seulement lors du match d’ouverture. Pour la première offense, peut-on accepté l’excuse qu’il ne se sente pas assez à l’aise de faire face aux médias dans une langue qui n’est pas la sienne? Nous l’avons accepté pour un Steve Shutt, il y a quelques années. Ce n’est pas un capitaine me direz-vous? D’accord et Joe Sakic alors qu’il était le capitaine des Nordique? Et Sidney Crosby qui refuse de parler en français lors des matchs parce qu’il dit devoir se concentrer sur le hockey? Je ne suis pas en train de critiquer ces joueurs, je vous démontre seulement qu’il raisonnable de croire qu’un athlète soit inconfortable de répondre à des journalistes dans une langue qu’il ne maîtrise pas parfaitement. Voici le genre d’accommodement raisonnable que je peux accepter. Pour l’erreur lors du match d’ouverture, il s’agissait belle et bien d’une faute, mais c’était celle de l’organisation et non du joueur. Mais, comme d’habitude, on a tiré sur le messager.

N’oublions pas non plus que le débat ait été amené, cette année, par nos amis les politiciens. Pourtant ces derniers devraient savoir qu’il n’est pas trop bon de mêler politique et sport. De plus, si la langue est un enjeux important, je crois qu’il existe des priorité dans le domaine beaucoup plus importantes que la langue utilisée par le capitaine de notre équipe de sport. Pourtant ces mêmes politiciens ont souvent répétés qu’il y avait d’autres priorités que le sport lorsqu’il a été question des taxes versés par l’organisation du Canadien. Ils avaient aussi d’autres chats à fouetter lorsque les Expos avait besoin d’aide. Mais maintenant question de se faire du capital politique, le sport devient soudainement important pour eux. Je sais, je mélange les choses, à mon tour. Il reste que ces politiciens ont dirigés un débat important, notre langue, dans la mauvaise direction. Au moins, je suis content de voir que plusieurs Québécois n’ait pas embarqué dans ce bateau. C’est déjà bien. En espérant que le sujet soit clos et qu’il ne revienne pas encore l’an prochain. J’ai quand même peur.

À la semaine prochaine!